La Ganja en Afrique de l'est

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FlyingLion

La Ganja en Afrique de l'est

Mensajepor FlyingLion » Dom Feb 13, 2011 9:07 pm

J'ouvre ici un topic sur la culture du cannabis et sa consommation, du Malawi à l'Egypte.

Je vait simplement faire des copier/coller des infos que je trouve sur le web pour les regrouper ici.
Si vous trouvez quoi que ce soit sur le sujet n'hésitez pas à le poster ici.
Je posterai plus tard des photos de Malawi gold que je test actuellement.

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Nous allons commencer par un article sur le Malawi écrit par Franco de Greenhouse. Bon je sais le travail de Greenhouse est contestable mais nous ne sommes pas là pour critiquer. Franco reste un passionné, et j'ai trouvé son article très complet, rien à ajouter : (googletrad :evil: )

"Le Malawi est un pays très spécial d'Afrique: il est l'un des plus pauvres et a l'un des enfants le plus élevé et les taux de mortalité infantile, mais c'est aussi l'un des états de guerre épines les plus accueillants et moins de l'ensemble du continent. Il est peu peuplée, et juste dans les dernières années, il commence à s'ouvrir au tourisme. Il n'y a pas autour des canons, à l'exception de ceux des soldats et des policiers (un cas rare dans cette partie de l'Afrique), et la plupart des gens sont très amicaux. Le lac Malawi est l'attraction principale du pays et le troisième plus grand lac d'Afrique. Le Malawi est aussi le deuxième plus grand producteur de cannabis sur le continent africain, après l'Afrique du Sud. L'année dernière, le Malawi a produit un peu à court de 12500 tonnes de cannabis (source: Nations Unies), dont la plupart destinés à l'exportation vers d'autres pays d'Afrique ou d'Europe.
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Le gouvernement du Malawi a des problèmes beaucoup plus à l'adresse (le paludisme, un système très mauvaise santé et le système de scolarité) et les producteurs sont généralement loin de la partie. La plupart du cannabis est cultivé dans la partie centrale et nord du pays, dans les vallées et sur les collines en pleine forêt, loin de toute ville ou route principale. Parfois, la seule façon d'y arriver est à pied, après une longue, longue marche. Les arbres et le terrain accidenté de camouflage les domaines, et il est impossible de se déplacer sans l'aide de la population locale. Les cultures sont plantées en Novembre et Décembre, et récoltées entre avril et mai. Après la récolte des cultures sont séchés sur place et transportés à pied ou à dos de mulet aux points de collecte où les contrebandiers (généralement étrangers provenant d'autres pays africains) d'organiser l'exportation des voitures, autobus, camions, et parfois même des hélicoptères et des avions de petite taille.

Ce n'est pas une activité très lucrative pour le peuple du Malawi, c'est juste la survie. Les trafiquants internationaux prennent la plupart des profits, tandis que les agriculteurs du Malawi juste assez d'argent pour fournir de la nourriture et la scolarisation de leurs familles et les familles élargies. Habituellement plus d'une famille, parfois un village entier, participe à un champ de grande production. Et les bénéfices sont partagés entre toutes les personnes impliquées, pour payer leur nourriture, et des briques pour les maisons et les frais de scolarité pour les enfants. Voyager à travers le Malawi, il est facile de comprendre que le cannabis est la seule culture qui peuvent avoir un impact positif sur les communautés rurales pauvres, les mêmes communautés qui ne sont pas bénéficiaires des programmes d'aide gouvernementale ou internationale. Le cannabis est fait pour les pauvres du Malawi ce que le gouvernement ne fait pas: aider.
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Le cannabis est arrivé au Malawi à partir de sources différentes, pendant une période allant de quelques siècles, plus de 1500 ans auparavant. Les premières graines est venu avec les tribus congolaises vers le sud, puis avec le commerce des marchands arabes de l'Asie à l'Afrique. Aujourd'hui, tout le Malawi il ya des phénotypes très différents de la race primitive sativa même que le monde sait que le Malawi Gold ou Black Malawi. Les noms ont été donnés dans les années 1970 et est venu avec les différentes manières de la fermentation et le transport de la mauvaise herbe. Les bourgeons qui sont fermentés et enveloppé dans des feuilles de maïs pour le transport de prendre très foncé, presque noir (d'où le nom de Malawi Black), tandis que les bourgeons non-fermentés sont brunâtres, presque doré. Une autre raison pour le nom de Malawi Gold est le fait que c'est à peu près la seule culture vaut de l'argent décent aux agriculteurs locaux.
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producteurs Malawi généralement des plantes de vastes champs à partir de graines et ne tirez pas sur les mâles de leurs récoltes, de sorte que la mauvaise herbe qu'ils récoltent est plein de graines ainsi. D'une part, cela leur permet d'avoir un bon stock pour la saison prochaine, sur les graines d'autre part sont les plus grands partie de la plante de cannabis, de sorte qu'ils garantissent un meilleur revenu (contre les mauvaises herbes sans graines a peu près le même prix que les mauvaises herbes ensemencées sur les locaux marché de gros à l'exportation).

Les graines sont souvent planté dans les grappes de 30-40 plants au même endroit, et puis la plus forte 2-3 plantes du groupe envahir le reste, qui sera effacé. La plupart des champs sont très isolés et très loin d'autres domaines, si les différents phénotypes garder consanguinité avec eux-mêmes, non contaminée et non modifiés par la génétique d'autres.
Certains producteurs commencent à réaliser qu'il existe une demande croissante local qui est directement liée au tourisme. Certains commencent à vendre les produits de leur travail pour les touristes venant des stations disséminées sur les rives du lac, dans la partie sud du pays. Parce que du contact avec les touristes, les producteurs commencent également à se rendre compte que les mauvaises herbes sans graines peuvent avoir une valeur beaucoup plus élevée pour les fumeurs, et quand ils plantent leurs cultures de leur prochaine tentative d'identifier et de retirer les plantes mâles de la plupart de leurs champs ( certains hommes seront toujours à gauche sur la fin, pour la pollinisation pour la fabrication de stock de graines pour la saison suivante).

cannabis Malawi est grand, avec le look typique de presque pure sativa. Les phénotypes différents, j'ai rencontré dans mon voyage étaient allant de très boisée et terreuse de la saveur à fruités et sucrés (ananas et la mangue le plus dominant des odeurs sur le phenos fruité). Certains phenos fruité ont une structure plus rameuse, tandis que les plus boisées présentent une attitude vraiment grand et extensible, avec peu de ramification. La plupart des domaines que j'ai vu ont été fécondés par la combustion de vieux arbres et la dispersion des cendres. Certains champs ont la plantation des techniques empruntées à d'autres cultures comme le manioc et le maïs.
Le Malawi Gold est élevé d'une netteté incroyable, intense, durable, et très complexe. Pendant la majeure partie de mon voyage, j'étais presque excitée par les mauvaises herbes locales, parfois au point d'avoir besoin de moins de nourriture que la normale.
Le plus fermenté Malawi Black (également connu comme "l'épi") a une très terreuses, presque goût de moisi, et beaucoup plus de pierres et effet de corps-like. Par moments, il était parfait pour équilibrer les très hautes des lots non-fermenté. Je fumais des lots fermentés surtout le soir, quand la journée était terminée, pour m'aider à dormir. Et le lendemain matin, je voudrais prendre un petit déjeuner en commun de la charge de haute excitation de me va. Une thérapie très efficace tout au Malawi.

Le Malawi est non seulement l'un des plus beaux pays que j'ai visités en ma vie, c'est aussi l'un des plus amicales cannabis. Contre les mauvaises herbes est illégal, et les sanctions sont en fait très difficiles sur le papier, mais dans la pratique, la terre est si vaste, et les contrôles routiers si facile à contourner, que c'est un paradis pour les fumeurs. Pour combien de temps il va rester comme ça, dépend du développement du tourisme et de la politique. Je ne peux qu'espérer qu'il ne changera pas trop ou trop vite.

Franco
Société Green House Seed"


Et voici une vidéo faite par la Weed Inc., parmi les agriculteurs du Malawi, nous apprenons comment sont fait les fameux épis :
http://www.youtube.com/watch?v=IGZYpOchepA

FlyingLion

Re: La Ganja en Afrique de l'est

Mensajepor FlyingLion » Dom Feb 13, 2011 9:10 pm

Au nord de la Tanzanie, près du lac Eyasi, un chasseur Hazda fume du cannabis dans une pipe en pierre.
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Jah Live! :D

FlyingLion

Re: La Ganja en Afrique de l'est

Mensajepor FlyingLion » Dom Feb 13, 2011 9:29 pm

"Les plus anciennes traces de chanvre en Afrique, ce sont des fourneaux de pipes à eau datant du début du XIIIe siècle, retrouvés dans le nord du Kenya et le sud de l'Éthiopie."

Il est possible qu'avant d'être fumée, dans l'ancien temps, la plante était utililsée comme encens. Dans le Kebra Negast, la reine de Saba rend visite au roi Salomon en terre de Jérusalem, elle arrive dans une salle enfumée d'encens sacré. Elle a ensuite rammenée les traditions du roi Salomon en Ethiopie, et leur fils le roi Menelik obeïssait aux lois et aux mêmes cultes que son père le sage Salomon.
L'Ethiopie a ensuite été la source de "l'encens sacré"

Je n'affirme rien mais je pense qu'ils devaient pas mal s'éclater dans l'ancien temps. :lol:

FlyingLion

Re: La Ganja en Afrique de l'est

Mensajepor FlyingLion » Dom Feb 13, 2011 9:34 pm

La caravane de la reine de Saba, gravure de le fin du 12e siècle
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FlyingLion

Re: La Ganja en Afrique de l'est

Mensajepor FlyingLion » Dom Feb 13, 2011 9:44 pm

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L'Afrique est grande et son peuple est grand! :D
Et la ganja y est bonne! ;)

freaks
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Re: La Ganja en Afrique de l'est

Mensajepor freaks » Lun Feb 14, 2011 7:51 am

Merci Flyinglion ,

J'étais justement en train de recouper des info sur la consommation et la diffusion du cannabis en Afrique. ;)

J'ai trouvé des articles très intéressants, comme un de Nicolaas j van de merwe sur le cannabis en Ethiopie au 13ème-14ème siècle,qui montre des analyse faite sur des fourneaux de pipe et prouve donc l'ancienté de cette pratique en Ethiopie;

Le truc c'est qu'ils sont tous en anglais...Si ça intérresse quelqu'un qui pourrait le traduire , qu'il me le dise, moi j'en suis incapable... :oops:

Je poste une carte venant d'un des articles, elle montre la progression du cannabis en Afrique,
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Je pense que la carte n'est tout a fait complète , la progression a du continuer vers le Congo jusque au Sénégal ...mais je n'ait pas de preuve pour appuyer ma théorie... :?

A+
YAH Bless

Rivalpo
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Re: La Ganja en Afrique de l'est

Mensajepor Rivalpo » Lun Feb 14, 2011 12:59 pm

Salut,

merci à vous deux pour votre participation Imagen.

N'hésitez surtout pas à soumettre au staff les textes en anglais avant de les poster, ça prendra un peu plus de temps mais au moins ça ne sera pas pire que les traducteurs online :lol:

Saludos

PS: j'ai ouvert un topic dédié l'Egypte sur lequel j'ai déplacé ton post. Celui-ci va servir à l'Afrique de l'Est, depuis le Soudan jusqu'au Mozambique.




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FlyingLion

Re: La Ganja en Afrique de l'est

Mensajepor FlyingLion » Lun Feb 14, 2011 10:02 pm

Salut!

Merci Freaks pour le coup de main ;) .
C'est vrai que j'ai posté un peu vite :) , je ne pensais pas que vous étiez assez motivés pour traduir des textes parfois long. Je comprend un peu l'anglais mais je suis incapable de faire une traduction potable. Donc j'enverrai les textes à traduire à un des moderateurs, on verra qui est le plus callé en langues :D .

Tu as bien fait pour l'Egypte, c'est vrai que ça fait un peu haut :lol:

J'ai trouvé cet article écrit par Zamalito, en voici une partie (suffisament clair j'espère :D ) :
Nous sommes à la croisé de l'Afrique du sud, central et de l'est. Il est difficile de parler d'une région sans en aborder d'autres.

"Arrivée de la culture du cannabis en Afrique par le fleuve Zambéze.

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Quand nous nous sommes quittés, nous avions parcouru à travers la mer Rouge avec Ménélik Ier, fils éthiopien du roi Salomon , à mettre l'Arche de l'Alliance sur le continent africain ce qui implique que le cannabis ont été portés en l'Afrique à travers la mer Rouge depuis le Moyen-Orient.

L'acceptation de Kaneh Bosm (http://en.wikipedia.org/wiki/Sula_Benet)comme étant du cannabis par l'Église éthiopienne orthodoxe est d'une importance que nous devons garder à l'esprit en lisant la deuxième partie. Selon l’Ancien Testament l'encens doit être brûlé à l'approche de l'Arche de l'Alliance ou de Dieu. Si l'Église éthiopienne orthodoxe possède encore l'Arche de l'Alliance c’est sûrement que leur interprétation de l'œuvre Kaneh Bosm doit être correcte.
(…) En continuation de la partie précédente et de l'importance pour cette partie, nous devons établir que le cannabis est une source importante, denrée de base de l'encens à cette époque.L’encens était l'un des produits les plus prisés et négociés en ce temps.(…) Le mot hébreu pour le haschisch a été le même que pour l'encens. Il ya aussi des références aux Assyriens qui ont consommé du cannabis comme encens entre 600 et 800 avant JC sous le nom Qunubu similaire à l'iranienne Kunubu.

Le commerce de l'encens a commencé avec la domestication du chameau et au fil du temps ont profité des progrès maritime afin de contourner la fiscalité et des lois exigeant que l'encens de Voyage à travers certains royaumes en donnant rois des taxes, afin de protéger les sources secrètes, ainsi que d'éviter les voleurs et les autres risques, pendant que les commerçants d'encens de pointe propose plus de 3.000 tonnes d'encens chaque année. L'arrivée des chameaux domestiqués en Arabie, je crois, a été le principal catalyseur pour les échanges intercontinentaux qui a déclenché une étincelle, encore visibles à la mi-Est et certaines cultures asiatiques à ce jour. Dans l'espoir que cette offensive ne sonne pas, n'importe qui, même vaguement familier avec la culture arabe a probablement remarqué combien ancrée compétences professionnelles et certaines coutumes sont devenus. (…)


Nous allons maintenant jeter un œil à la façon dont le commerce a été établi entre l'Afrique, la Chine, l’Inde, le Viet Nam et l'Égypte et pour la première partie de cette section, nous allons examiner une histoire maritime vague et mal compris . Aux fins de cette discussion que nous avons trois cultures commerciales dans l'océan Indien, les Chinois, les Indiens, et un groupe d'historiens vagues non spécifiques se réfèrent simplement sous le nom de "commerçants arabes". Les historiens se sentent tout à fait sûr de supposer que c’était des commerçants arabes qui ont apporté le cannabis en Afrique australe (…). Les plus ancien à utiliser des cultures de cannabis au sud de l'Afrique centrale semblent être le long du fleuve Zambèze. Il y avait aussi plusieurs très anciennes colonies du commerce arabe encore en existence quand les Européens ont d'abord exploré la rivière au 19ème siècle. La plupart des historiens attribuent l'introduction du cannabis en Afrique australe au cours de la 13e et 14e siècles, mais ils ne parviennent pas à expliquer pourquoi ces cultures semblent avoir été créés bien avant l'introduction de l'Islam.


Introduction B. Pour l'Afrique australe

Je pense que nous pouvons dire avec confiance que le cannabis remonte assez loin dans l'Est, Afrique australe et centrale. Il y a des rituels communautaires basées le long de la vallée du Zambèze comme celles qui emploient des piles de feuilles de cannabis étant jeté sur un incendie et sont inhalées par la communauté dans son ensemble comme un moyen de créer un lien communautaire. En outre, l'introduction du cannabis dans la région par des commerçants arabes qui semble être tout à fait distincte de l'introduction de l'islam dans la région. Plusieurs pièces ont été retrouvées au Zimbabwe et la vallée du Zambèze en provenance de la Perse et allant dans les dates de la première à 4ème siècle après JC. Comme je l'ai dit auparavant, les colonies de commerce arabes le long du fleuve Zambèze ont été les premiers à introduire le cannabis à l'Afrique en dehors de la mer Rouge et au Moyen-Orient.
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Linguistiquement, il ya trois groupes de termes pour le Cannabis dans cette région. le terme indien Bhang comme Bhangi, Mbanghi, Mbanzhi, etc Puis theres les mots avec « Dagga » comme base, et puis vous avez les motsde la famille Riamba, Liambe, Liamba, diamba. Cette dernière famille de termes se propage de la source de la rivière Zambèze et un peu mais au nord et à l'est, mais surtout au nord et à l'ouest jusqu'au Nigeria et est également utilisé dans un contexte moderne en Côte d'Ivoire.Beaucoup de botanistes insistent que le cannabis n'a pas été introduit au Nigeria qu'après la Seconde Guerre mondiale, mais dans une de ses revues Sir Richard Burton dit qu’il poussait à l'état sauvage à Lagos, au Nigeria . Je ne peux pas professer l'une des revendications sur les bases des mots Riamba , mais c’est intéressant. La recherche des villes, des collines, montagnes, villes, etc des lieux dans le monde dont les noms contiennent ces mots apporte uniquement des places dans cette région de la Zambie, l'Angola, le Cameroun, Ivoire etc Côte, tous les endroits qui utilisent ce que le terme traditionnel pour le cannabis. (…) J'ai tendance à croire que ces termes sont des restes de premiers marchands arabes d'Ivoire qui remontaient le fleuve Zambèze (Bhang est un terme de l'Inde.)
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(…) Les traits Indiens apparaissent dans le sud de l'Afrique. Traits comme les feuilles monophyllus, tertiaire et quaternaire de ramification lourds, et le terpenotypes semblent relient la plupart des variétés locales de l'Afrique australe au sud de l'Inde. Ce terme, très probablement, est arrivé avec les commerçants au plus tard avant le 11ème siècle ap JC, lors de l'exploitation des gisements d'or en Afrique de l'Est. (…)

Source: Zamalito "


l'article complet : http://translate.googleusercontent.com/translate_c?hl=fr&langpair=en%7Cfr&u=http://www.420magazine.com/forums/cannabis-facts-information/73010-arrival-indian-cannabis-culture-africa-zambezi-river.html&rurl=translate.google.fr&usg=ALkJrhgdhX5eAMqO443qvHM7z4gF8BeO_g#post629348

Pour résumer, ce serai des commerçants Arabes qui auraient introduit le cannabis provenant des Indes en Afrique, à une date incertaine et qu'on ne connaitras certainement jamais avec certitude.

A+ ;)


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